Nân... Pas pile là, aujourd'hui. (Aujourd'hui, c'est l'anniversaire d'Olivier. Joyeux anniversaire Olivier, si tu passes par là ! 40 ans, c'est sérieux maintenant ! ; ) Mais c'est hier et aujourd'hui que j'ai profité d'un des cadeaux de Mont' : du temps pour nous (et pour moi) chez Caudalie. La classe quoi !
Sauf que lorsque j'arrivai à l'accueil du Spa et que l'on m'annonça que je serais, durant quatre heures, séparée de Sébastien et Agapée, des larmes commencèrent à pointer (les hormones encore ?!). Quatre heures. Quatre heures toute seule. Quatre heures dans le calme. Punaise... (Oui, oui... Je vous entends déjà chuchoter, celles qui connaissent et celles qui sont allées voir de quoi il retournait : "Râler en posant les pieds chez Caudalie... Ahlala-lala... Jamais contente Sophie. Comme lorsqu'elle est partie au Sénégal... Ahlala-lala." Et vous n'aurez pas tort. Seulement... Seulement on ne se refait pas !) J'écoutai le type bien sous tous rapports me raconter l'aventure Caudalie que j'allais vivre durant quatre heures. Je ronchonnai après ce maillot de bain (alors que le souci, ce n'est pas le maillot, mais ma ligne et mes 8 kilos en trop). Je ronchonnai après ces sandales à picots. Je ronchonnai après ce peignoir trop épais. Bref : je ronchonnais ! Puis arriva le premier soin : un bain au marc de raisin et aux huiles essentielles. Et toujours ma question sans réponse (pour cause de cette non-réponse : la question de franchit pas les portes de mon cerveau) : "Où dois-je positionner mes pieds ? Avant ou après la barre de maintien ?". Je me questionnai donc pendant une belle vingtaine de minutes. Je savourai en même temps ces petits jets contre ma peau. La plante des pieds, les mollets, les cuisses, le dos, les omoplates... Six cycles durant. "Punaise, me disais-je, comment ai-je pu ronchonner de la sorte ? Agapée pourra attendre pour sa tétée. Sébastien saura la faire patienter !" Puis vinrent les trente minutes d'attente jusqu'au prochain soin (massage à l'Huile Divine -sans huile essentielle...). Ne pouvant me résoudre à quitter mon peignoir (pourtant si peu seyant) pour aller au sauna et autre hammam, j'optai pour l'assoupissement ! Il en fut de même pour la seconde pause entre mon massage et mon soin de visage. Quant 19h sonna, je rejoignis aux pas de course, mais non moins détendue (!), notre magnifique chambre pour nourrir la belle Agapée ! Suivirent un succulent dîner (savoureusement arrosé ; ) et une nuit quelque peu mouvementée. Loin des ébats amoureux que nous avions pu imaginer (...), mais près d'une petite fille au ventre barbouillé ! Après cette nuit hachée (... -bis), ce fut autour d'un petit-déjeuner gargantuesque que nous nous posâmes, avant de rejoindre nos pénates (et notre tribu au complet). Le tout au passé simple pour rendre à cette douce parenthèse son éphémérité !
Sauf que lorsque j'arrivai à l'accueil du Spa et que l'on m'annonça que je serais, durant quatre heures, séparée de Sébastien et Agapée, des larmes commencèrent à pointer (les hormones encore ?!). Quatre heures. Quatre heures toute seule. Quatre heures dans le calme. Punaise... (Oui, oui... Je vous entends déjà chuchoter, celles qui connaissent et celles qui sont allées voir de quoi il retournait : "Râler en posant les pieds chez Caudalie... Ahlala-lala... Jamais contente Sophie. Comme lorsqu'elle est partie au Sénégal... Ahlala-lala." Et vous n'aurez pas tort. Seulement... Seulement on ne se refait pas !) J'écoutai le type bien sous tous rapports me raconter l'aventure Caudalie que j'allais vivre durant quatre heures. Je ronchonnai après ce maillot de bain (alors que le souci, ce n'est pas le maillot, mais ma ligne et mes 8 kilos en trop). Je ronchonnai après ces sandales à picots. Je ronchonnai après ce peignoir trop épais. Bref : je ronchonnais ! Puis arriva le premier soin : un bain au marc de raisin et aux huiles essentielles. Et toujours ma question sans réponse (pour cause de cette non-réponse : la question de franchit pas les portes de mon cerveau) : "Où dois-je positionner mes pieds ? Avant ou après la barre de maintien ?". Je me questionnai donc pendant une belle vingtaine de minutes. Je savourai en même temps ces petits jets contre ma peau. La plante des pieds, les mollets, les cuisses, le dos, les omoplates... Six cycles durant. "Punaise, me disais-je, comment ai-je pu ronchonner de la sorte ? Agapée pourra attendre pour sa tétée. Sébastien saura la faire patienter !" Puis vinrent les trente minutes d'attente jusqu'au prochain soin (massage à l'Huile Divine -sans huile essentielle...). Ne pouvant me résoudre à quitter mon peignoir (pourtant si peu seyant) pour aller au sauna et autre hammam, j'optai pour l'assoupissement ! Il en fut de même pour la seconde pause entre mon massage et mon soin de visage. Quant 19h sonna, je rejoignis aux pas de course, mais non moins détendue (!), notre magnifique chambre pour nourrir la belle Agapée ! Suivirent un succulent dîner (savoureusement arrosé ; ) et une nuit quelque peu mouvementée. Loin des ébats amoureux que nous avions pu imaginer (...), mais près d'une petite fille au ventre barbouillé ! Après cette nuit hachée (... -bis), ce fut autour d'un petit-déjeuner gargantuesque que nous nous posâmes, avant de rejoindre nos pénates (et notre tribu au complet). Le tout au passé simple pour rendre à cette douce parenthèse son éphémérité !
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