14 avril 2025
En bref !
21 mai 2024
6 ans...
Il est vrai que je suis admirative des couples qui passent leur vie ensemble. Traverser bonheur, quotidien, difficultés... Réussir à surmonter ces dernières... Oui, je ne peux être qu'admirative. Mais je ne connais pas. Mais (bis !), je suis tellement heureuse de vivre de si belles, curieuses et amoureuses histoires d'amour (même si parfois j'ai l'impression de morfler X fois plus par rapport à celles et ceux qui n'en vivent qu'une !!!) (et voilà pourquoi la comparaison ne mène à rien de bon ; )
Je n'ai pas su surmonter les difficultés avec Nicolas... Alors après dix ans de vie partagée amoureusement, nous avons suivi chacun notre route.
Avec Sébastien, j'ai su... Mais surmonter ne signifie pas subir (non, non, non !!!). Alors après neuf ans et demi de vie partagée, nous avons suivi chacun notre route.
Et depuis six ans (six ans !!!), l'Homme et moi suivons la même route. Six ans !!! Punaise, JPhM : six ans !!!
Il y a des hauts et il y a des bas ; il y a tant de différences entre nous ; il y a un bagage d'enfants (cinq au total ; ), un bagage d'histoires d'amour (mais pas que !), un bagage de vécu personnel, et et et...
Il y a six ans (!!!), j'allais à ce rendez-vous sans pression ; il allait à ce rendez-vous en se disant que ça ne mènerait pas à une histoire d'amour (pourtant, elle était trop bien ma vidéo JPhM -même mes enfants le disent !?!). Depuis il y a et pression et histoire d'amour !!! Et pour l'instant nous traversons bonheur et difficultés. Quant au quotidien, nous l'avons traversé, et comme il ne nous convenait pas, nous l'avons modifié : )
Jean-Philippe M. (j'ajoute ton nom dans ma tête -même si je sais que tu n'aimes pas ça !!! ; ), je nous souhaite de partager nos chemins amoureusement longtemps encore (au moins quatre ans -première étape qui me permettrait de me dire que mes grandes histoires d'amour peuvent durer plus de dix ans ; ), et plus encore si nous le souhaitons et tant que nous sommes heureux...
Joyeux 6 ans, "mon Amour" (rhohoho ; )
28 avril 2024
Les bonheurs des jours #7
Partir chercher le soleil en Italie } Etre à deux } Entendre le bruit de la mer } Les pizzas si simples et si bonnes } Lire paisiblement } Faire plus de 10000 pas par jour (enfin au moins un jour ; ) } Photographier les plaques des rues pour se souvenir où nous sommes garés } Trouver des cigarettes pas chères (parce que c'est aussi Savoir s'adapter !) } Ne rien faire } L'embrasser et trinquer } Voir que les camions aussi aiment regarder la mer } Sourire en le voyant en chaussettes noires et baskets olive } Passer une nuit dans le van } Bricoler à deux (même si je ne suis pas une assistante...) } Se poser avant de reprendre le travail } Regarder la série Mon petit renne } Et et et...
27 août 2023
L'amour hors de nos frontières (yes !)...
Comment résumer les deux semaines qui viennent de couler joliment sur cette période estivale ? Deux semaines avec l’Homme. Quatorze jours tout, tout les deux. Tout les deux, sans enfant...(!!!) Je n’aurais pas mis ma main à couper que je rentrerais sereine et apaisée, car le fait est que nous ne nous sommes jamais retrouvés dans ce contexte : tant de jours hors du quotidien et sans enfant. Nous avons bien fait quatre jours, peut-être cinq (?) (mémoire, quand tu me tiens ; ) ; et généralement (même s’il pourrait dire le contraire -!) une chamaillerie, voire une grosse dispute (mention spéciale à notre escapade italienne aux vacances précédentes!) arrive pour entacher le ciel que je trouvais jusque là si beau. Bref : non, ce n’était pas gagné ; et des paris ont été lancés pour dire au bout de combien de jours nous nous mangerions le nez (and the winner is : Pascalou!).
Re bref (ndlr : beaucoup de "bref" à venir, car je me sens d'humeur loquace ; ). Oui, il y a bien eu un "fronçage" de nez, une "incompréhension qui persiste (et signe ?), mais elle n'a pas débouché sur un retour précipité dans nos nids respectifs (wouwouwou !!!).
Il y a deux mois, il était question de Portugal, et de Lisbonne en particulier... Il y a trois semaines, il était question de la Galice... Et la veille de notre départ, il fut question de Madrid et de Lisbonne (souvent, couple varie ; )
Première halte à San Sebastien, et première nuit en van (après avoir vu en nous couchant un magnifique feu d'artifice -même que certains ressemblaient à des macarons !!!)... et au matin : oh !?! une roue à plat ?!?... oh ?!? et aujourd'hui est un jour férié !?! Après quelques péripéties (merci les boulons de tailles différentes...!), nous finissons par changer le pneu pour le remplacer par la roue de secours. Et qui dit "roue de secours", dit "conduite à 80km /h" (ah ah ah !!!). Petite halte à Burgos (très beau, très bon !) avant d'atteindre (enfin ; ) Madrid. Ma-gni-fique ! Chaud (44°, indiquait un abribus -pfiou...!), mais (!) magnifique ! De larges avenues (ou quelque soit leur nom) dans le centre ; et des ruelles colorées et chaleureuses lorsque nous nous éloignons. Petit bémol néanmoins, la nourriture espagnole me laisse perplexe : ils ne mangent pas de légumes les Espagnols ?!? Et ils ne font pas de portions unitaires ?!? Alors j'ai nettement moins chichité que lors de notre virée à Barcelone il y a quelques années, mais quand même : pas de légumes, des portions énormes, de la sandria (parce que leurs Spritz ne sont vraiment pas bons ; ) ce n'est pas le top pour perdre les 4kg qui me collent au corps (et accessoirement qui m'empêchent d'enfiler mes jeans... bouhouhouh). Avant de quitter Madrid après trois jours de marche, d'échanges et de sourires (oui : tout ce qui est mielleux dans un couple ; ), nous allons faire changer les pneus (et voilà comment l'Homme voit son budget vacances amputé de 400€...) ; puis direction Porto (bah non, pas Lisbonne, ça fait trop loin finalement ; ). Alors là, j'avoue que les paysages entre Madrid et l'approche de la frontière portugaise n'ont rien d'enchanteurs : du plat, du jaune, de l'ocre et du desséché (je vends bien, n'est-ce-pas ? ; ). Mais avant Porto : une petite escale le temps d'une soirée au bord de l'eau : ) Ah bah non, pas au bord de l'eau, parce que c'est à proximité d'un barrage, et que je ne dors pas à proximité d'un barrage (c'est comme ça... mon côté princesse ?!?). Du coup nous trouvons un joli minuscule petit village ; nous prenons notre repas à la terrasse du café du petit village (ndlr : pourquoi mettent-ils leur nourriture sur du pain pas bon les Espagnols ?) ; nous buvons beaucoup de rosé à la terrasse du café du petit village ; suite à une discussion je fronce un peu du nez à la terrasse du café du joli petit village... et après une nuit l'une sur la couchette du haut du van et l'autre sur la couchette du bas du van (c'est grand un van mine de rien !), nous voilà partis pour parcourir les 50km qui nous séparent de Porto, d'abord dans un grand silence, puis dans un grand éclat de voix. Petite pause dans notre dispute le temps de nous installer à l'hôtel (parce que que du van sur tant de jours, ce n'est pas possible -bah non !). Puis direction le centre de Porto sous une jolie bruine. Silence pesant, puis agacement à la terrasse d'un café, et enfin (je vous le donne dans le mil -rapport au titre de ce post ; ) : apaisement !!! Wouwouwou !!! Moins de 24h après le début de cette dispute, nous la stoppons. Champagne !!! (Enfin, non : nous avons dû faire changer les roues du van quelques jours avant... ; ) Alors nous partons découvrir Porto, ville pour laquelle je tombe immédiatement sous le charme. C'est beau, simple, vivant, chantant, les façades carrelées offrent de la magie, la langue est tout simplement envoutante et les croquettes de cabillaud délicieuses !!! Point important lorsque l'on visite Porto : il faut appliquer la technique des routes en montagne (mais à pieds ; ) ; c'est-à-dire faire un parcours en lacet, sans quoi le dénivelé de la ville peut mettre fin à toute ardeur ! Re re bref : j'ai adoré ! (Tant, que nous sommes tombés nez à façade d'une maison abandonnée et que j'ai pris le numéro de l'agent immobilier ! J'aime à rêver : )
Puis les jours passant depuis notre départ, il faut penser à rebrousser chemin par un autre chemin (!). Pontevedra, St-Jacques de Compostelle, la Corogne, et... une panne sur l'autoroute... (Un pompiste qui a mis de l'essence à la place du diesel -ou inversement ?!?). Et là, je peux vous dire qu'il vaut mieux ne pas tomber en panne sur l'autoroute espagnole. Non non non... D'abord parce qu'il fait chaud (heureusement que nous avions un parasol dans le van -!), ensuite parce que nous découvrons qu'il n'y a pas de borne SOS sur les autoroutes d'Espagne, et puis lorsque l'on est bloqués entre deux viaducs il est impossible de se dire "marchons, et voyons". Re re re bref : la loose. Heureusement, un homme de l'entretien de l'autoroute finit par passer devant nous, s'arrête et appelle une dépanneuse. Merci un homme ! Et nous voilà dans je ne sais quel village perdu en Galice, dans un garage (qui regardera la voiture le lendemain -gggrrr...!), sans van et sans toit sur la tête. Mais l'Homme a un téléphone avec un peu de batterie, et il nous déniche un petit hôtel pas cher (ça tombe bien car l'assurance rembourse peu ; ) et un taxi. Et le lendemain, en fin d'après-midi, nous retrouvons un van qui roule (après m'être dit une seconde fois "et voilà comment l'Homme voit son budget vacances amputé de plus de 400€ -bis !). Direction Pau pour récupérer ma voiture ; et le lendemain (après 10h sur l'autoroute -l'Homme, si tu me lis, je prends mes lecteurs à témoins : plus jamais de trajet via l'autoroute du Sud ; ) nous retrouvons Annecy... sous la pluie (comment ça les vacances sont finies ?!?) !
Bilan : j'ai adoré ces grandes vacances 2023, oui ! Celles en amoureux, celles avec les enfants, les amies, la famille. A-do-ré : ) (Vivement les prochaines ; )